L'alcool est partout.
Même si il est classé comme drogue, il est légalement disponible dans tous les supermarchés, superettes et «off licence» dans le pays pour toute personne en âge légal. C'est une chose normale à voir lorsque vous faites les courses pour de la nourriture ou d'autres articles, montré dans des rayons accessibles aux enfants, une partie de la vie quotidienne que personne ne questionne. Mais ne devrait-il pas l’être ?
Lorsque les gens entendent le mot «drogue», ils oublient souvent des choses telles que l'alcool et nomment des substances telles que le LSD, la Cocaïne et d'autres drogues illégales. Mais l'alcool ne doit-il pas être classé de la même façon ? Après tout, ils ont des effets assez similaires et des restrictions dans la société...
Les effets positifs qu’ont en commun les drogues illégales et l’alcool sont leur utilisation comme «médicament», à ne pas prendre au premier degré étant donné que beaucoup de personnes s’en servent plutôt comme automédication afin d’ignorer, surmonter ou oublier les choses négatives se produisant autour d’eux voir pour diminuer leur peine physique; ces effets «positifs» ont cependant des inconvénients. Une autre chose positive est que cela aide les gens à se relaxer et à s’amuser, en provoquant un état d’esprit désinhibé permettant de profiter de la situation et de prendre une pause de la réalité. Pour certaines personnes, cela permet aussi de voir les choses sous un angle différent, en les relaxant et en débloquant certaines parties de leur conscience, permettant alors de résoudre des problèmes ou de réprimer certaines émotions.
Bien sûr, tout ce qui modifie l’état d’esprit de quelqu’un peut aussi avoir des effets négatifs, ce qui est le cas de l’alcool et des drogues illégales. On peut voir la possibilité pour le consommateur de devenir agité ou en colère lorsque sous l'influence de ces choses, conduisant à des disputes et par la suite tout type de problème de relation, que ce soit avec des amis, la famille ou des partenaires. Les deux peuvent avoir des effets négatifs sur l'état d'esprit d'une personne qui deviennent permanents et même sur leur corps, ces effets sont généralement malheureusement irréversibles. Le pire qui puisse arriver est l’apparition d’une addiction, d’une dépendance des émotions agréables et de la rupture de la réalité que cela peut offrir.
Compte tenu de la différence dans l'opinion publique à la fois sur l'alcool et les drogues illégales, il est difficile de comprendre pourquoi deux choses si incroyablement semblables sont abordées si différemment. Surtout lorsque les deux sont traités de la même façon par les employeurs, ces deux choses sont testées dans les lieux de travail, étant donné qu’être sous influence est un motif de renvoi et que la conduite sous influence de l'un ou l'autre est même illégale. Les différences entre les deux sont de plus en plus maigres. Les méthodes de traitement pour la dépendance à chacun sont même extrêmement similaires, les deux ont des centres d’addiction et des groupes que les consommateurs se doivent de suivre.
Les grandes questions à se poser sont tout simplement pourquoi l'alcool est si facile à obtenir tandis que ce n’est pas le cas de la drogue ? Pourquoi l’un est-il plus décrié que l’autre ? Et pourquoi des limites de sécurité ne sont-elles pas développées pour les deux, ou en tout cas de mêmes interdictions au vu de la similarité de leurs effets ? Il n'y a pas de réponses directes à ces questions et, à moins que cela ne commence à être remis en question, on ne peut pas s'attendre à ce que des réponses soient offertes.
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